Madame, Monsieur,
Je siège à la gauche du conseil municipal depuis maintenant deux mandats. Les
propositions que j’ai formulées avec mon groupe n’ont jamais trouvé crédit
auprès de Madame le Maire. En attendant, le constat est assez accablant. En
voici quelques exemples :
- En cette fin de mandat, jamais la dette de la commune n’aura été aussi élevée. L’investissement est très faible comparé aux communes de même importance. Nous sommes dans le top 5 des plus forts taux d’imposition des communes du département.
- Le Préfet a augmenté la pénalité pour non réalisation de logements pour actifs de 80 %. Pire encore, la commune ne peut plus disposer de ses terrains ou locaux d’habitation comme elle l‘entend, le Préfet a un droit de préemption sur touts les terrains constructibles et les locaux d’habitation. Le conseil constitutionnel vient de confirmer cette prérogative, c’est un échec cuisant pour Madame le Maire.
- Nous avons peu d’activité économique, bon nombre de Cannettans et Rochevillois vont travailler à Cannes, ville riche, qui encaisse en retour les impôts induits par l’activité économique. Et le Cannet regarde ces sommes lui passer sous le nez. On aurait pu y remédier si on avait accepté l’intercommunalité plus tôt, mais des fâcheries dignes d’une cour d’école entre les Maires ne l’ont pas permis. Que d’argent perdu pour Le Cannet !
Madame le Maire, on peut être opposé au gouvernement, c’est la démocratie, mais quand il propose aux communes de créer des emplois d’avenir, pour les jeunes de moins de 25 ans, financés à 75 % par l’état et qu’on refuse cette disposition pour des raisons politiciennes, on ne gère pas sa commune, on gère son avenir politique national. Critiquez le gouvernement quand vous êtes à l’Assemblée Nationale, ou lors d’autres élections, mais ne vous trompez pas de combat en ne permettant pas aux jeunes de s’insérer dans la vie active.
Il n’y a pas de fatalité à cette situation, des solutions sont possibles, et la première d’entre elles est de changer radicalement le mode de gestion. Les Cannettans et Rochevillois doivent être associés aux décisions. Des associations dynamiques et indépendantes doivent pouvoir prendre toute leur place aussi bien dans la proposition que dans l’accompagnement.
L’intercommunalité doit être regardée comme une chance.
Une gestion pragmatique et non politicienne des deniers publics est indispensable.
Entouré par des femmes et des hommes compétents(chefs d’entreprise, ingénieurs, experts comptables, ouvriers, syndicalistes...), j’ai la volonté de porter ce changement basé sur l’écoute, la solidarité, l’écologie.
Le Cannet-Rocheville mérite un avenir ambitieux, construisons-le ensemble.
- En cette fin de mandat, jamais la dette de la commune n’aura été aussi élevée. L’investissement est très faible comparé aux communes de même importance. Nous sommes dans le top 5 des plus forts taux d’imposition des communes du département.
- Le Préfet a augmenté la pénalité pour non réalisation de logements pour actifs de 80 %. Pire encore, la commune ne peut plus disposer de ses terrains ou locaux d’habitation comme elle l‘entend, le Préfet a un droit de préemption sur touts les terrains constructibles et les locaux d’habitation. Le conseil constitutionnel vient de confirmer cette prérogative, c’est un échec cuisant pour Madame le Maire.
- Nous avons peu d’activité économique, bon nombre de Cannettans et Rochevillois vont travailler à Cannes, ville riche, qui encaisse en retour les impôts induits par l’activité économique. Et le Cannet regarde ces sommes lui passer sous le nez. On aurait pu y remédier si on avait accepté l’intercommunalité plus tôt, mais des fâcheries dignes d’une cour d’école entre les Maires ne l’ont pas permis. Que d’argent perdu pour Le Cannet !
Madame le Maire, on peut être opposé au gouvernement, c’est la démocratie, mais quand il propose aux communes de créer des emplois d’avenir, pour les jeunes de moins de 25 ans, financés à 75 % par l’état et qu’on refuse cette disposition pour des raisons politiciennes, on ne gère pas sa commune, on gère son avenir politique national. Critiquez le gouvernement quand vous êtes à l’Assemblée Nationale, ou lors d’autres élections, mais ne vous trompez pas de combat en ne permettant pas aux jeunes de s’insérer dans la vie active.
Il n’y a pas de fatalité à cette situation, des solutions sont possibles, et la première d’entre elles est de changer radicalement le mode de gestion. Les Cannettans et Rochevillois doivent être associés aux décisions. Des associations dynamiques et indépendantes doivent pouvoir prendre toute leur place aussi bien dans la proposition que dans l’accompagnement.
L’intercommunalité doit être regardée comme une chance.
Une gestion pragmatique et non politicienne des deniers publics est indispensable.
Entouré par des femmes et des hommes compétents(chefs d’entreprise, ingénieurs, experts comptables, ouvriers, syndicalistes...), j’ai la volonté de porter ce changement basé sur l’écoute, la solidarité, l’écologie.
Le Cannet-Rocheville mérite un avenir ambitieux, construisons-le ensemble.
- Rejoignez-nous !
José GARCIA ABIA, Conseiller municipal
Téléphone : 06 73 29 38 60